Abu Zur’ah Ar Razi a dit : « Mes oreilles n’ont jamais rien entendu sans que mon cœur ne le retienne. Et lorsque je marchais dans les marchés de Bagdad et que j’entendais la voix d’une chanteuse émanant des appartements, je bouchais mes oreilles de peur que mon cœur ne retienne cette chanson. »
• Source : [ Tarikh Baghdad 10/333 - Ainsi étaient nos pieux prédécesseurs, page 65 ]