Abu Ishaq As Shayrazi retira son turban qui valait vingt dinars pour accomplir ses ablutions, alors qu’il faisait sombre. Un voleur vint, pris le turban et laissa un vieux turban à la place. Le shaykh se releva et l’enfila, sans se rendre compte de quoi que ce soit, jusqu’à ce qu’on l’interroge à ce sujet, alors qu’il donnait cours, et il dit : « Il est possible que celui qui l’a pris soit dans le besoin. »
• Source : [ As Siyar 7/132 - Ainsi étaient nos pieux prédécesseurs, page 56 ]